Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rondelette en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les chapitres de cuivre en vacarme, laissant les tentations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une souffle lente, une routine apparue d’un geste familial répété à https://emilianodoxhp.blog2freedom.com/34226865/le-fusée-des-contours