À paris, dans une existence conforme saturé de réseaux incorporels et de données ambiantes, une pétard étrange s’était mise à tomber tout nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation numérique, tels que une encre https://beaudotxa.csublogs.com/41264713/l-encre-inversée-célestes