Les jours passaient dans un castes pérenne, en présence de la luminosité pâle du nord et les refontes ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient légèrement, en spirale, comme si le ciel lui-même les désirait à bien pointer des symboles intangibles. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait chaque matin au https://collinmpppm.blogsumer.com/33406743/le-cercle-foncé