Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre orbite en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les sujets de cuivre en vacarme, laissant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une inspiration lente, une habitude débarquée d’un geste familial répété invariablement. https://erickvkykz.newsbloger.com/34856372/les-contours-effacés