En 2200, Reykjavik n’était plus la commune qu’elle avait subsisté. Entourée d’installations cryogéniques et de laboratoires géologiques, elle abritait dès maintenant des centres de recherches connectant archéologie glaciaire et sciences cognitives. C’est dans l’un de ces séculaires abris transformés que vivait un voyant simple, connu rien que sous un homonyme https://ericksacbb.creacionblog.com/33985995/les-têtes-effacés