Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient attaché à la carcasse rouillée d’une antique cabine téléphonique. Posée seule au début d’une boulevard oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une corne https://jaredrbfij.luwebs.com/34573689/la-cabine-du-septième-vie