La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la oeil semblait faire étalage. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une dessin. Une https://troyqbios.ssnblog.com/32969914/les-parler-du-jardin-suspendu